Sénégal : le baobab, l’emblème national en danger

Au Sénégal, le baobab fait partie du patrimoine culturel et historique. Pourtant, il se meurt. Reportage dans la forêt de Nguekokh, dans la région de Thiès, touchée par la déforestation.
A l’entrée de la forêt de Nguekhok, une poignée de baobabs bordent la route. « Avant, c’était rempli ici », souffle Tomas Diagne, engageant son 4X4 noir sur le sillon de terre sèche. Nguekokh, dans la région de Thiès au sud de Dakar, fut longtemps considérée comme l’une des forêts de baobabs les plus denses au monde. En dix ans, elle aurait perdu la moitié de ses occupants.

Tomas Diagne est biologiste, spécialiste des tortues africaines. Voilà des années que ce Dakarois d’origine s’adonne à son autre passion et milite pour la préservation des baobabs, ces arbres emblèmes du continent africain. « Ma rencontre avec eux est accidentelle », aime-t-il à raconter. C’est d’abord un intérêt accru pour la longévité des baobabs, tenant du mythe pour beaucoup de Sénégalais, qui a conduit Tomas Diagne à les observer et à rejoindre le milieu associatif. « J’ai croisé des gens comme Sébastien Garnaud qui a lancé l’association française Inecoba et m’a demandé de participer. »

un Baobab, Isola di Gorée, Dakar, Senegal, Africa

En 2009, ils lancent « Educo baobab », programme d’éducation aux baobas, financé par la ville française d’Aulnay-sous-Bois. Un « kit Baobécole » est alors distribué dans des écoles de Rufisque, à l’est de Dakar, jumelée avec la ville de Seine-Saint-Denis, afin de les sensibiliser à cet arbre « encore trop méconnu ». Si son travail de biologiste lui prend tout son temps, les baobabs trouvent tout de même une place dans le quotidien de Tomas Diagne. A 49 ans, il est un véritable passionné. « Le symbolisme de l’arbre me fait vibrer. Sa beauté, sa forme. »

L’Homme, le fléau du baobab
Sur la droite de la route, un grillage de deux mètres de haut sépare la réserve animale de Bandia de la forêt de Nguekokh. Les baobabs les plus chanceux ont poussé à Bandia, zone de safari classée et protégée. Les autres, dans le domaine public de Nguekokh. Puisqu’aux yeux de la loi foncière, la commune peut octroyer des parcelles de terre à n’importe quel villageois, les abattages d’arbres pour dégager de l’espace sont fréquents. « Le nombre de baobabs rétrécit à vue d’œil », soupire le biologiste.

A gauche, un arbre situé dans la réserve classée de Bandia. A droite, deux baobabs ne bénéficiant d’aucune protection © Caroline Quevrain
A gauche, un arbre situé dans la réserve classée de Bandia. A droite, deux baobabs ne bénéficiant d’aucune protection © Caroline Quevrain
S’ils ne sont pas rasés, les Adansonia digitata (nom scientifique, NDLR) subissent l’intervention de l’Homme quotidiennement. « Les éleveurs montent dessus pour en couper les feuilles et pour nourrir leur bétail. Résultat, l’arbre ne peut plus se régénérer, développe des formes de cancers au niveau des branches et périclite », explique Tomas Diagne.

Autre fléau pour la régénération du baobab, peut-être le plus inquiétant: l’utilisation de ses fruits à des fins commerciales. « Des gens dont c’est le métier collectent les fruits car leur pulpe a une valeur marchande. Ils se vendent au kilo partout dans le monde. » En effet, le « pain de singe » que l’on consomme en jus est très prisé à travers la planète, notamment en Europe où il s’arrache pour 20 euros environ les 160 grammes de poudre.

La solution des réserves naturelles communautaires
Les menaces qui pèsent sur le baobab fluctuent selon les régions du Sénégal. Dans la péninsule de Dakar, c’est l’expansion urbaine qui cause sa disparition tandis qu’à Kedougou (ville du Sud-Est du pays), c’est la récolte de ses fruits qui cause sa perte.

Pour lutter contre ce phénomène grandissant, Tomas Diagne a une ambition. Celle de créer une vaste réserve naturelle de baobabs au Sénégal, destinée à protéger l’espèce. « Cela peut être ici, à Nguekokh, ou ailleurs, comme à Fissel Mbadane (région de Thiès, NDLR). J’aimerais qu’il y ait un écomusée à l’intérieur, sur l’Histoire de l’arbre, qui permettrait aux visiteurs de la réserve de comprendre davantage de choses dessus. »

Le biologiste s’appuie sur la loi sénégalaise qui, depuis dix ans, permet aux collectivités locales de créer des réserves naturelles communautaires, lorsqu’une communauté souhaite protéger une espèce ou un lieu. « Je l’ai déjà fait pour une espèce de tortues au lac de Guiers (nord du Sénégal, NDLR), assure-t-il. Si l’on pouvait faire de 5.000 hectares de la forêt de Nguerkokh une zone protégée, ce serait une belle avancée. »

Alors, dans un pays où le baobab est emblématique, comment ne pas s’offusquer de sa disparition ? « Un pays se choisit des symboles, il doit par conséquent les protéger », semonce Tomas Diagne, pour qui la situation relève de l’absurde. Conférer à l’arbre le même statut que celui du lion, autre emblème sénégalais, serait une solution pour le biologiste. « Pour pouvoir tuer un lion, il faut avoir obtenu une autorisation expresse et écrite du président de la République. »

Début de sensibilisation
A dire vrai, Tomas Diagne attend très peu du gouvernement sénégalais. Selon lui, « l’Etat fait semblant. Le changement ne se fera que par des initiatives personnelles, ciblées, venant de gens qui vont se lever et alerter sur la situation. » Si le scientifique reconnait un début de sensibilisation auprès de la population, c’est loin d’être suffisant.

Optimiste de nature, Tomas Diagne n’en est pas moins modéré: « Mon temps est limité et j’ai des obligations professionnelles mais je continue, car je fais ça par amour. Pour le baobab, les choses ne se règleront pas, mais peuvent s’améliorer si des initiatives fortes se mettent en place. »

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Le baobab, l’arbre qui pourrait disparaître du paysage malgache au cours des cinq prochaines années

Parfois nous avons peur d’être tués. Nous essayons de protéger la forêt, mais d’autres personnes cherchent à en profiter. Ce n’est pas facile de faire notre travail, dit Zoemana, l’une des gardes forestiers de Menabe Antimena.

Tout à disparu

Les gens voient des baobabs et se croient beaux, mais je pense si seulement ils pouvaient comprendre que tout a disparu. Cette terre a littéralement été cultivée à mort “, dit Steeves Buckland, directeur de la conservation des espèces et de la recherche à la Fondation Durrell, qui collabore avec les Nations Unies, à propos de l’aire protégée de Menabe Antimena (210 000 hectares), où les baobabs sont les seuls arbres debout.

L’équipe Buckland estime que les brûlis et la culture itinérante réduisent chaque jour 50 hectares de forêt de Menabe Antimena en 2018. Si la déforestation continue à s’accélérer au rythme actuel, la fondation estime que la forêt pourrait disparaître complètement en seulement six ans.

“Ce serait tragique, étant donné qu’il s’agit d’un des derniers vestiges de forêt sèche de l’ouest de Madagascar. Deux sites Ramsar (zones humides d’importance internationale) abritent ici 128 espèces d’oiseaux, 49 espèces de reptiles, 16 espèces d’amphibiens, huit espèces de lémuriens et plus de 200 espèces d’arbres. Menabe Antimena, en particulier, est le seul endroit au monde où l’on peut voir la tortue à queue plate de Madagascar, le lémurien de Berthe et le rat géant “, dit l’expert.

Dépendance à l’agriculture

Madagascar se classe 161e au classement des Nations Unies pour le développement humain, avec plus de 75% des 26 millions de personnes vivant sous le seuil de pauvreté.

Il est également un des pays les plus menacés par les changements climatiques. En fait, selon la Banque mondiale, c’est le troisième pays le plus vulnérable aux tempêtes ” de plus en plus fréquentes et intenses ” du fait du réchauffement climatique. Des précipitations irrégulières et des périodes de sécheresse croissantes affectent déjà 80% de sa population, qui dépend directement de l’agriculture.

Bien que Menabe Antimena soit une zone protégée depuis 2007, 50.Des milliers de personnes s’installent autour de la réserve et ce nombre continue d’augmenter à mesure que les migrants se déplacent vers le nord,  poussés par la dégradation de l’environnement, la sécheresse et le risque de famine dans le sud de Madagascar , a déclaré dans une note l’agence des Nations Unies pour l’environnement.

” Une fois la végétation dégagée, on coupe des arbres et des mauvaises herbes pour faire place aux cultures, on plante du maïs pour un an ou deux. Et lorsque le sol se dégrade et perd des nutriments, il n’y a que la possibilité de cultiver des arachides. En seulement cinq ans, la terre n’a plus rien à offrir et les agriculteurs continuent à s’étendre, allongeant le cycle de destruction “, décrit l’organisation internationale.

La préservation de la forêt

Les populations locales ont la plus grande responsabilité dans la préservation de la forêt, mais si les associations et les rangers ne prennent pas de mesures pour la protéger, nous pouvons espérer sa destruction totale dans la prochaine décennie,  dit Frause, président du village de Marofandilia, en bordure de la zone protégée du Menabe Antitimena.

La Fondation Durrell forme déjà les gardes forestiers malgaches à tirer parti des nouvelles technologies, améliorant ainsi les délais d’intervention afin d’arrêter les responsables de l’exploitation illégale des forêts. La plateforme Global Forest Watch permet d’accéder librement à des informations précises et actualisées sur le couvert forestier et les changements d’utilisation des terres. Des données utiles pour les décideurs, les organisations de conservation, les journalistes et le secteur privé, assurent leurs créateurs.

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Les baobabs millénaires d’Afrique sont en train de disparaître

Une équipe de chercheurs du monde entier tire la sonnette d’alarme après avoir constaté que neuf des treize plus vieux baobabs africains sont partiellement ou totalement morts.

Âgés de 1100 à 2500 ans et tutoyant le ciel, les baobabs et leur tronc massif couronné de branches aux allures de racines, sont une des silhouettes les plus emblématiques des savanes arides, repérables à des kilomètres à la ronde. Mais cela pourrait bien ne pas durer. La grande majorité des plus vieux baobabs d’Afrique se meurent depuis une dizaine d’années, alertent lundi des chercheurs dans la revue Nature Plants . «Il est choquant et spectaculaire d’assister au cours de notre vie à la disparition de tant d’arbres d’âges millénaires», explique à l’AFP Adrian Patrut de l’université Babes-Bolyai en Roumanie, premier auteur de cette nouvelle étude. Ils évoquent le dérèglement climatique comme possible cause de cette disparition «d’une ampleur sans précédent».

«Au cours de la seconde moitié du XIXe siècle, les grands baobabs d’Afrique australe ont commencé à mourir, mais depuis 10-15 ans, leur disparition a rapidement augmenté à cause des températures très élevées et de la sécheresse», poursuit le chercheur. Au cours des 12 dernières années, neuf des treize plus vieux baobabs sont partiellement ou totalement morts, selon cette nouvelle étude. Parmi les victimes, trois monstres symboliques: Panke, originaire du Zimbabwe, le plus vieux baobab avec 2450 ans au compteur, l’arbre de Platland d’Afrique du Sud, l’un des plus gros du monde, avec un tronc de plus de 10 mètres de diamètre et le célèbre baobab Chapman du Botswana, sur lequel Livingstone grava ses initiales, classé monument national.

Baobab mort

Les chercheurs ont découvert cette situation «d’une ampleur sans précédent» presque par hasard: ils étudiaient ces arbres pour percer le secret de leurs incroyables mensurations. Pour cela, entre 2005 et 2017, Adrian Patrut et ses collègues ont étudié tous les plus grands (et donc généralement les plus vieux) baobabs d’Afrique, plus de 60 en tout. Parcourant le Zimbabwe, l’Afrique du Sud, la Namibie, le Mozambique, le Botswana et la Zambie, ils ont collecté des échantillons sur différentes parties des arbres. Des fragments dont ils ont ensuite défini l’âge à l’aide de la datation au carbone.

Pas de maladie identifiée
«La cavité d’un vieux baobab du Zimbabwe est si grande que près de 40 personnes peuvent s’y abriter», souligne le site Internet du parc national Kruger en Afrique du Sud. Ils pouvaient être utilisés comme magasin, comme prison ou plus simplement comme arrêt de bus. Ils ont également longtemps été utilisés pour se repérer par des explorateurs ou des voyageurs.

«Les baobabs produisent périodiquement de nouveaux troncs, comme d’autres espèces produisent des branches», selon l’étude. Ces tiges ou troncs, souvent d’âges différents, fusionnent ensuite ensemble. Quand un trop grand nombre de tiges meurent, l’arbre s’écroule. «Avant de commencer nos recherches, nous avions été informés de l’effondrement du baobab Grootboom en Namibie mais nous pensions que c’était un événement isolé», explique Adrian Patrut.

«Ces décès n’ont pas été causés par une épidémie», affirment les auteurs qui suggèrent que le changement climatique pourrait affecter la capacité du baobab à survivre dans son habitat même si «d’autres recherches seront nécessaires pour soutenir ou réfuter cette hypothèse». Mais «la région dans laquelle les baobabs millénaires sont morts est l’une de celles où le réchauffement est le plus rapide en Afrique», remarque Adrian Patrut. Ce qui fait craindre le pire.

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Déforestation : l’Allée des Baobabs risque de disparaître

Au rythme de la déforestation constatée ces dernières années, l’aire protégée Menabe- Antimena qui abrite la fameuse Allée des baobabs, classée patrimoine mondial de l’Unesco, pourrait disparaître d’ici 2050, selon l’étude effectuée dernièrement par WWF et ses partenaires.

Rien qu’en 2017, l’aire protégée Menabe Antimena, l’un des plus importants blocs de forêt sèche de Madagascar, a perdu 7% de sa surface totale. Et les études de 2014 confirment cette dégradation mettant en cause la déforestation effrénée et incontournable que subit cette aire protégée depuis 2010. Selon toujours les chiffres de WWF, la moyenne de déboisement pour la période 2008-2010 est de 1.280 ha par an et de 3.295 ha par an pour la période 2010-2014.

Des réserves spéciales

Outre l’Allée de Baobab, Menabe-Antimena abrite également des zones humides Ramsar, dont des lacs et des mangroves. C’est tout un écosystème. Mais cette région subit une migration massive depuis plusieurs années, augmentant les pressions sur l’aire protégée. Les forêts sont brûlées et défrichées pour la culture intensive et illégale de maïs et d’arachide.

Baobab : L’arbre géant qui cache la forêt
Baobab : L’arbre géant qui cache la forêt

L’ONG Fanamby, Durell, Madagascar National Parks, WWF et d’autres organisations environnementales mobilisent les autorités et l’opinion publique et travaillent avec la société civile au niveau nationale pour alerter sur cette situation avec la campagne «Sauvons Menabe Antimena» cette année.

Parmi les solutions avancées : mieux faire connaître et appliquer la législation qui régit la gouvernance de l’aire protégée. Aussi, les populations riveraines doivent êtres sensibilisées et informées sur les éventuelles sanctions.

Arh.

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Fruit prodigieux, d’un arbre spectaculaire : le baobab bio

Taillé pour les records
Fruit prodigieux, donc, d’un arbre spectaculaire : le baobab. De la famille des Bombacées, ce dernier peut vivre entre 500 et 2 000 ans, atteindre les 20 mètres de haut et les 40 mètres de circonférence. De cet arbre sacré, emblème du Sénégal, pousse un fruit dont les Africains utilisent la pulpe, aussi bien comme mucilage pour nettoyer les plaies que comme base d’un jus lorsque l’endocarpe (ladite pulpe contenant une centaine de graines) est mélangé à l’eau. Ce jus au goût acidulé et rafraîchissant, appelé boye, possède une propriété antidysentérique grâce à sa forte teneur en pectine. via Principes de Santé

Le fruit du baobab bio Baomix
Le fruit du baobab bio Baomix

Le pain de singe, ce grand oublié
L’endocarpe de pain de singe semble taillé pour battre tous les records. Peu calorique, il n’en offre pas moins des vertus hors norme. Il est riche en fibres solubles et insolubles, en vitamines C, A, B1, B2 et en minéraux essentiels comme le calcium, le potassium (il en contient six fois plus que la banane), le fer et le manganèse. À titre d’exemple, le fruit Le fruit du baobab contient trois fois plus de vitamine C que le kiwi ; antioxydant puissant, chaque gramme renferme plus du double de phénols que les baies de goji ; il est aussi naturellement riche en calcium. Pour conclure une liste non exhaustive, la présence de bêta-sitostérol (un phytostérol) en fait un allié intestinal contre le cholestérol. via Principes de Santé

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Les Baobabs sauvages de Madagascar, Adansonia Grandidieri

Les Baobabs sont présents sur l’île de Madagascar, il en existe 8 espèces sur l’île.

Ces espèces sont toutes issues du même ancêtre et sont situées sur la côte ouest de Madagascar.

Le Baobab n’aime pas l’eau, certains arbres peuvent tenir jusqu’à 8 mois sans eau!
Une fois à Madagascar, a mi-chemin entre le Sud et le Nord, vous trouverez l’allée des Baobabs. Là, n’oubliez pas votre appareil photo car vous verrez devant vous environ 1000 baobabs grandidieris. Ce sont les plus grands!
Les fleurs de ces arbres changent selon les pollinisateurs. Les fleurs peuvent être blanches et dirigées vers le ciel afin d’attirer les papillons. D’autres fleurs seront plutôt colorées, rouges ou encore oranges. Celles-ci seront orientés vers le bas pour les petits lémuriens.

Le baobab sauvage Adansonia Grandidieri de Madagascar
Le baobab sauvage Adansonia Grandidieri de Madagascar

En Afrique, les Baobabs ont des fleurs blanches et elles pendent vers le sol, elles sont pollinisées par des chauves-souris!
Madagascar est la 4e île la plus grande au Monde, elle est aussi la plus vieille avec près de 85 millions d’années.
6 des 8 espèces de baobabs connues sont endémiques de Madagascar. C’est une grande valeur patrimoniale mais malgré cela, les baobabs sont gravement menacés.
Ils sont classés UICN des espèces de baobabs malgaches en tant qu’espèce végétale charismatique.
« Renala » est le mot qui est utilisé par les populations afin de désigner l’espèce de baobab : Adansonia grandidieri. Cela signifie « Mère de la Forêt ».

La taille de ce baobab peut atteindre 30 mètres de haut avec un diamètre de plus de 5 mètres.
Les baobabs sont d’une grande utilité, là où ils sont présents.
Ils sont utiles au niveau du fourrage pour le bétail, pour l’alimentation, la pharmacopée, la couverture des habitations avec les fibres de l’écorce, la vente des produits qui sont issus des baobabs comme les fruits, le miel et les graines, et enfin l’artisanat sans oublier le tourisme.

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Baomix la poudre sans gluten de baobab bio

La poudre de pulpe de fruit de baobab biologique, tirée du fruit communément appelé le pain de singe, se présente comme une farine qui ne contient pas de gluten. Cette poudre de pulpe de fruit, séchée naturellement et regorgeant de nutriments et de vitamines, peut entrer dans la composition de nombreuses recettes de cuisine, et peut être utilisée par toutes les personnes sensibles au gluten, ou celles qui ne veulent plus en consommer.

De plus, Baomix la poudre de pulpe de baobab est certifiée par AGOJI et licenciée par l’Association Française Des Intolérants Au Gluten (AFDIAG), qui est une association visant à informer, aider et défendre les intérêts des intolérants au gluten, soutenir la recherche en apportant des dons.

Vous pourrez utiliser ce produit de vitalité comme farine garantie 100% sans gluten pour confectionner tous vos plats, sans aucun risque d’effets indésirables. En effet, les conséquences négatives sur la santé liées au gluten sont belles et bien réelles, et ont été démontrées par de nombreuses études.

Baomix la poudre de fruit de baobab bio sans gluten
Baomix la poudre de fruit de baobab bio sans gluten

Le gluten dégrade l’état des personnes atteintes de la maladie cœliaque. Lorsque les coeliaques consomment du gluten, leur système immunitaire attaque à la fois le gluten et la paroi de l’intestin lui-même.  Ainsi, la réaction immunitaire peut causer la dégénérescence de la paroi intestinale , conduisant à des carences nutritives, divers problèmes digestifs, l’anémie, la fatigue, un retard de croissance ainsi qu’une augmentation du risque de maladies graves comme la perméabilité de l’intestin. Toutefois, cette maladie ne touche actuellement qu’1% de la population.

La sensibilité au gluten est plus fréquente et peut avoir des conséquences graves. La plupart des symptômes sont semblables à ceux de la maladie cœliaque : ballonnements, douleurs abdominales, fatigue, diarrhée, ainsi que des douleurs dans les os et les articulations.

Le gluten peut également avoir des conséquences négatives chez les personnes atteintes du syndrome du côlon irritable.

De plus, de nombreux cas de maladies neurologiques et troubles du cerveau réagissent positivement à un régime sans gluten, telles que l’ataxie cérébelleuse, laschizophrénie, l’autisme, l’épilepsie.

Certaines études montrent également que le gluten peut avoir des propriétés addictives et qu’il existerait un lien direct entre le gluten et certaines maladies auto-immunes telles que la thyroïdite de Hashimoto, le diabète de type 1, la sclérose en plaques.

Notre poudre de pulpe de fruit de baobab bio Baomix vous garantie une alimentation saine en évitant tout risque d’effets indésirables liés au gluten.

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Vous pourrez l’incorporer dans toutes vos recettes, en voici d’ailleurs un savoureux exemple :

Le Cookie diététique géant amande chocolat à la poudre de Baobab

Pour le concocter, vous aurez besoin de :

  • 100g de farine 7 céréales
  • 20g de poudre de baobab
  • 20g de lait amande chocolat
  • 20g de Natur O Son La Mandorle
  • 20g de farine de soja
  • 5g Cook’line
  • 5g d’Hermesetas
  • 150ml d’eau
  • 20 gouttes d’arôme amandes grillées

Commencer par mélanger tous les produits secs puis ajouter l’eau et l’arôme. Bien incorporer tous les ingrédients jusqu’à avoir une boule de pâte homogène.

Répartir la pâte dans un moule rond silicone d’environ 22 cm de diamètre en prenant soin de bien tasser et lisser la préparation dans l’empreinte afin que la pâte adhère le plus possible au fond du moule et d’avoir un beau résultat après démoulage.

Enfourner à 180° et sortir le moule du four dès que le cookie est cuit et démoulable. Le démouler délicatement et le remettre à cuire 5 minutes dans le four avec le côté face lisse sur la toile silicone afin d’obtenir un cookie encore plus croustillant.

Sortir la plaque du four et attendre 10 minutes pour décoller le cookie de la toile puis le laisser refroidir sur une grille.

Ce  cookie géant hyperprotéiné est à la fois moelleux et croustillant…. mais surtout très savoureux avec son bon goût d’amande et de chocolat. Une véritable gourmandise…. mais diététique !

Le baobab bio sauvage adansonia digitata
Le baobab bio sauvage adansonia digitata

 

Acheter de la poudre de baobab biologique et des aliments riches en antioxydants naturels puissants pour la vitalité du corps et de l’esprit sur Biologiquement.com, la boutique en ligne de la Société AGOJI : Boutique baobab

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Les baobabs de Madagascar, grands corps fragiles

Madagascar abrite la plus grande variété au monde de ces arbres mythiques, menacés par la déforestation.

Une expédition franco-malgache est allée étudier de près le devenir de ces phénomènes du règne végétal.
Selon la croyance malgache, c’est dans un baobab qu’Imbelo, le premier homme, a sculpté sa compagne. Pour toucher et photographier ces créatures mythiques, leurs admirateurs sont prêts à franchir des océans. Au détour de la célèbre « Allée des baobabs » de Morondava, dans l’ouest de Madagascar, il n’est pas rare d’apercevoir un Japonais ou un Américain en pleine extase, le visage posé sur l’arbre magique, les bras tendus, comme s’il cherchait à l’enlacer. Comme si c’était possible… La circonférence de ces splendeurs peut dépasser 20 mètres. Il se murmure même que, quelque part dans le pays, celle de l’un d’eux dépasserait 35 mètres.
Ce ne sont pourtant pas les mensurations de ces géants du règne végétal qui excitent les chercheurs, ce sont leurs singularités biologiques. Voilà deux siècles et demi que les botanistes étudient le genre Adansonia, du nom de l’explorateur français Michel Adanson, qui fit la connaissance de son premier baobab un jour d’août 1749, au Sénégal. Mais il y a seulement une quinzaine d’années -autrement dit hier pour les scientifiques- que le taxinomiste américain David Baum a enfin mis (provisoirement?) tout le monde d’accord sur le nombre d’espèces de baobabs: il y en a huit, dont six n’existent qu’à Madagascar.
Sur les images satellitaires, ils se distinguent des autres arbres
La région du fleuve Mangoky, dans l’ouest de l’île -loin des baobabs à touristes, loin de tout- figure parmi les moins bien connues des spécialistes, qui sillonnent pourtant le pays à longueur d’année. En mai dernier, six chercheurs malgaches et français du Cirad (Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement) ont décidé de s’y aventurer, en s’orientant grâce à la carte réalisée par le biogéographe du groupe, Cyrille Cornu. A partir des images satellitaires à haute résolution que Google Earth propose sur Internet, le scientifique a identifié des zones à forte densité de baobabs: ces arbres sont en effet si imposants que, vus du ciel, ils se distinguent des autres.
Progressant en pirogues, l’équipe de spécialistes observe les baobabs grandidieri, les plus élancés de tous, en pleine floraison à cette époque de l’année. Protégé par son large chapeau et par son foulard rouge pare-soleil, armé de ses jumelles, Pascal Danthu, patron de la mission, est aux aguets. A plusieurs reprises, il arrête le cortège: « Il faut absolument que l’on aille prélever un peu d’écorce de ces baobabs-là. » Aussitôt, les piroguiers tâchent de gagner le banc de sable le plus proche. Puis tout le monde descend et des groupes se forment.
Lorsqu’un arbre est particulièrement difficile d’accès, c’est Wilfried Ramahafaly qui s’y colle, sourire aux lèvres, son inséparable hache en équilibre sur l’épaule. Ce phénoménal marcheur des bois parcourt chaque année 4000 kilomètres à pied dans la campagne. A la nuit tombée, sa consoeur, l’entomologiste Tantelinirina Rakotoarimihaja, pose ses pièges -drap blanc et projecteur- à proximité des baobabs. Un sphinx (papillon de nuit), pollinisateur éventuel, l’intéresse? Elle l’attrape dans son filet, le pique à l’ammoniac puis le classe dans ses petites boîtes pour identification ultérieure.
Les rares villageois installés sur les rives fabriquent de la corde avec l’écorce des baobabs. Ils vouent aussi une vénération absolue à certains spécimens remarquables, placés sous la garde vigilante d’un sage. Ils savent aussi que la culture sur brûlis qu’ils pratiquent a des effets redoutables. Au moins 10 000 hectares de forêts partiraient chaque année en fumée. Déjà, les jeunes plants se font rares, et certaines espèces seraient menacées. « Il est grand temps de mettre en place sur l’île un plan de préservation acceptable sociologiquement, souligne Pascal Danthu. Il faut accompagner les villageois pour qu’ils profitent davantage des ressources forestières et prennent conscience de leur valeur. »
Certains baobabs volent du matériel génétique à d’autres espèces
Pour l’heure, sur le Mangoky, le temps est au travail… Et aux surprises. Perchés à 15 mètres du sol sur ces arbres pachydermiques, les « accrobranchistes » (grimpeurs d’arbres) de l’association Madarbres recrutés pour récolter des fleurs intriguent les piroguiers de l’expédition. Lesquels, à leur tour, épatent les vazaha (étrangers) en piégeant un jeune crocodile, qui sera dégusté le soir même au camp.

Le majestueux baobab sauvage
Le majestueux baobab sauvage

Les chercheurs du Cirad associés à leurs homologues de l’université d’Antananarivo ont constaté que certaines espèces malgaches présentaient un étonnant mode d’évolution. Pour s’adapter à un nouvel environnement, elles n’attendent pas que la sélection naturelle « classique » suive son cours, génération après génération… Elles « volent » du matériel génétique à d’autres espèces de baobabs bien établies, un phénomène appelé « introgression ». Leur stratagème est au point: elles titillent le pollinisateur de leur cible, un sphinx par exemple (le papillon) et lui soutirent un fécond baiser… Un peu comme si, souhaitant quitter l’hémisphère Sud pour le Nord, des manchots venaient frayer avec des pingouins afin de favoriser leur descendance! Efficace. Mais aussi très déstabilisant pour Jean-Michel Leong Pock Tsy, le généticien du groupe, qui tombe parfois sur d’improbables hybrides. De quoi compliquer encore la carte de répartition des espèces sur l’île, qu’il peaufine depuis des années.
Aujourd’hui de retour à Antananarivo, l’équipe a commencé le travail d’analyse. Dans les années qui viennent, les spécimens de baobabs aux profils ADN les plus étranges auront droit à une nouvelle visite. Les chercheurs, qui ont noté les coordonnées GPS de tous les arbres observés, tenteront alors de saisir ce qui, dans l’environnement, pourrait expliquer ces anomalies. « Il reste encore tant de choses à comprendre sur la génétique, l’histoire biologique et les liens que les hommes entretiennent avec ces arbres fabuleux », s’enthousiasme Pascal Danthu.
L’arbre aux merveilles
Il vit longtemps
Les plus vieux pourraient dépasser 1 000 ans. Une aubaine: grâce aux tissus d’anciens spécimens, les chercheurs du Cirad et leurs partenaires comptent retracer l’histoire climatique de Madagascar.

Ses fruits sont à tomber
La pulpe du pain de singe, le fruit du baobab, est dix fois plus riche en vitamine C que l’orange. En la mélangeant avec de l’eau, on obtient un délicieux breuvage acidulé. Depuis deux ans, la commercialisation du fruit et de son jus est autorisée dans l’Union européenne.

Il se remet de tout
Coupez un arbre : à l’intérieur, le bois est mort. Coupez un baobab : le coeur est vivant. Un atout qui lui permet de cicatriser des pires blessures en quelques mois. Quitte à repousser parfois bizarrement, sous la forme d’une théière, par exemple.

Il intéresse l’industrie cosmétique
Sur les rives du Mangoky, l’équipe du Cirad a prélevé des échantillons pour les laboratoires de la marque Yves Rocher, qui a participé aux frais de la mission. L’entreprise n’est pas la seule à s’intéresser aux fruits, aux feuilles et aux graines du géant des forêts, qui pourrait bien devenir une vedette des rayons beauté.

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Acheter de poudre de pulpe de baobab bio Baomix sur Biologiquement.com

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Ils s’unissent pour protéger le Baobab au Sénégal et dans le Monde

L’ASSOCIATION ‘’LES AMIS DU BAOBAB’’ EST NÉE. La salle Soweto de l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD) de Dakar a abrité l’Assemblée générale constitutive de l’Association ‘’Les Amis du Baobab’’ (LAB).

La rencontre s’est tenue le samedi 22 mars 2014 en présence d’ingénieurs, d’enseignants, de pharmaciens, d’artistes, de professeurs d’université, d’acteurs culturels, de journalistes, de géologue, de banquiers, d’entrepreneurs, de consultants, de spécialistes en environnement, en responsabilité sociétale d’entreprise, d’acteurs du mouvement associatif, d’étudiants… et du grand public.

Les membres de l'association "les amis du baobab"
Les membres de l’association « les amis du baobab »

Le Ministère des Sports et de la Vie Associative était également représenté.

Allocutions, projection de photographies de baobabs (ville de Dakar), lecture du poème de Henri Michaux sur les baobabs par Khalil Wayzani, prestation théâtrale de la troupe du Centre des œuvres universitaires de Dakar (Coud), échanges, élection du bureau et du Comité directeur ont rythmé l’Assemblée générale.

A l’issue de l’assemblée générale constitutive, Mr Jean Michel Seck, ingénieur pétrolier a été élu Président des Amis du Baobab. Il sera épaulé par le vice-président Charles Forster, artiste-comédien. Le poste de Secrétaire Général est allé à la pharmacienne le Dr Aisha Conté et son adjointe Océane Harati. Mangoné Diène, Secrétaire permanent de l’Association ‘’Mémoires scientifiques du Sénégal’’ s’adjuge le poste de trésorier avec comme adjoint Ibrahima Ndaw, Ingénieur Informaticien

L’artiste-peintre Kalidou Kassé, membre du Comité directeur, a expliqué le concept du ‘’baobab qui marche…’’, une œuvre réalisée en 1991.

L’artiste-peintre El Hadj SY (ELSY) a offert à l’Association ‘’les Amis du Baobab’’ deux œuvres sur le thème du Baobab.

L’Association ‘’les Amis du Baobab’’ poursuit plusieurs objectifs, entre autres :

1- obtenir pour le Baobab (Adansonia Digitata) le statut ‘’d’espèce intégralement protégée’’ dans le Code Forestier du Sénégal ;

2- participer à l’élaboration du ‘’plan baobab’’ national (conservation et sauvegarde de l’espèce) ;

3- contribuer à forger l’indicateur de la densité de baobab au Km2 (recensement national) dans le cadre des politiques de préservation de l’environnement mises en œuvre ;

4- participer à la recherche sur les origines des espèces recensées à travers le monde (Australie, Inde, Madagascar, Brésil, Pays du Sahel, DOM-TOM, etc.)

5- collaborer avec toutes les organisations de défense et protection des baobabs à travers le monde ;

6- promouvoir au Sénégal et dans le monde les activités économiques tirées du baobab (médicinales, alimentaires, textiles, cosmétiques, etc.)

7- participer activement à l’éducation de la jeunesse (connaissance et respect de la nature et de la biodiversité)

8- participer à l’animation culturelle et touristique des régions du Sénégal par la création de circuits touristiques : ‘’le chemin des baobabs’’

9- soutenir les politiques de Développement Durable et assurer la promotion de l’éco culture

10- contribuer à la conservation de la tradition et du patrimoine immatériel

Arbre le baobab sauvage adansonia digitata
Arbre le baobab sauvage adansonia digitata

Contact-presse Alassane CISSE

77 515 18 80 baobabcommunication@yahoo.fr

La liste des membres du Bureau et du Comité directeur ci-dessous

1-Président : Jean Michel SECK
2- Vice-président : Charles FORSTER
3- Secrétaire Générale : Dr Aisha CONTE
4- Secrétaire Générale Adjoint : Océane HARATI
5- Trésorier : Mangoné DIENE
6- Trésorier Adjoint : Ibrahima NDAW
7- Chargé de Communication : Alassane CISSE
8- Chargé des Affaires Culturelles : Omar DIACK
9- Chargé des Programmes : Sidya NYAFOUNA
10- Chargé des Relations Extérieures : Amadou SOW

Conseiller Scientifique : Bachirou GUEYE
Conseiller RSE/Développement Durable : Philippe BARRY
Conseiller Artistique : Kalidou KASSE
Conseiller Artistique : Pap BA
Conseiller touristique Seyfoulaye BA
Conseiller Technique : Khafe DIALLO

Président du Comité Baobab de la Région de Kaolack : Amadou SOW
Président du Comité Baobab de la Région de Thiès : Babacar DIEYE
Président du Comité Baobab de la Région de Diourbel : Seyni THIAM

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Le Projet Baobab – Madagascar

Une approche innovante pour lutter contre la pauvreté et la déforestation à Madagascar

Forêt de baobabs à Madagascar
Forêt de baobabs à Madagascar

En donnant une valeur économique au fruit du baobab pour améliorer le revenu de populations très pauvres, nous voulons encourager les communautés locales à protéger leurs arbres et leurs ressources naturelles pour une forêt vivante.
Les forêts malgaches sont soumises à de fortes pressions anthropiques et risquent de disparaître avant même d’avoir été entièrement étudiées. En effet, 250.000 hectares de forêts malgaches disparaissent chaque année, ce qui signifie qu’à ce rythme de destruction les forêts auront complètement disparues dans une décennie.
Ce sera une catastrophe pour Madagascar, qui est l’un des dix « points chauds » les plus importants de la biodiversité de la planète. La principale raison de la déforestation est l’agriculture sur brûlis à cause de la pauvreté, par ignorance et une habitude traditionnelle désastreuse.

Déforestation par l'agriculture sur brûlis
Déforestation par l’agriculture sur brûlis

Le genre Baobab comprend huit espèces d’arbre dont six poussent uniquement à Madagascar, un symbole emblématique du pays.
Depuis des siècles, les populations locales utilisent toutes les parties du Baobab comme source de nourriture quotidienne, comme remèdes traditionnels pour la peau, les maladies de l’appareil respiratoire et digestif, les fièvres et autres maux.
Nous voulons vous faire découvrir au monde les bénéfices santé de deux ingrédients 100 % bio, issus des fruits des Baobabs de Madagascar, récoltés durablement et équitablement en milieu sauvage :

  • La pulpe du fruit de Baobab
  • L’huile des graines de Baobab

Pour faire découvrir le superfruit du Baobab de Madagascar au monde nous avons besoin de soutien financier pour le lancement.

La population locale consomme depuis toujours les produits issus du baobab, aidons les à conserver ce patrimoine.
La population locale consomme depuis toujours les produits issus du baobab, aidons les à conserver ce patrimoine.

Pour tout découvrir sur le projet Baobab, participer au financement collectif et recevoir des supers contreparties rendez-vous sur notre page Indiegogo :
http://igg.me/at/thebaobabproject/x/3362258

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DECOUVERTE… BAOBAB CIMETIERE DE SINDIA : «Gouye Guéwel»

DECOUVERTE… BAOBAB CIMETIERE DE SINDIA : «Gouye Guéwel», témoin d’une tradition d’inhumation des griots sérères

Dans la société ancienne des Sérères, les griots morts n’étaient pas enterrés. Selon une vieille croyance, les enterrer symboliserait la rétention de l’eau dans le ciel. Et pour cette raison, ils étaient déposés et superposés dans des trous de baobab.

SINDIA – L’adansonia digitata, communément appelé baobab, est bien connu des Sénégalais et principalement des Africains du fait de ses nombreuses vertus. C’est un arbre à usage multiple et à la longévité exceptionnelle. Partout en Afrique, ses différentes parties (racines, écorces, feuilles, pulpe et graines) sont utilisées à des fins thérapeutiques, nutritionnelles, voire commerciales. Cependant, le baobab revêt un statut particulier dans les ethnies Sérères avant la période post indépendance. Dans plusieurs provinces sérères, ces arbres géants abritaient les tombeaux d’une certaine caste, notamment des griots. Une communauté qui se caractérise dans la société sénégalaise et africaine par la maîtrise de la tradition orale et culturelle.

Le griot est ainsi considéré comme étant le dépositaire de la tradition orale. Mais cette parfaite maîtrise de la tradition orale et culturelle ne leur donne pas le droit de se reposer dans les cimetières des «nobles» une fois la mort survenue. Dans la tradition païenne, les ethnies sérères n’enterraient pas leurs griots, ils les déposaient à l’intérieur des troncs creux de gros baobabs. Une tradition qui a été longuement conservée par ces derniers jusqu’au XXe siècle. Si dans d’autres provinces comme à Kahone (une localité située à 5 km nord-est de Kaolack), le roi déposait les dépouilles d’une catégorie de griots dans les baobabs pour les honorer, c’est le contraire qui se produisait dans les autres ethnies sérères, comme à Fimela, à Nianning, à Sindia et autres lieux du pays.

Un baobab pour tombeau
Un baobab pour tombeau

 

En visite à Sindia Lorome au «Gouye Guéweul», comme l’appellent communément les résidents de cette localité, l’on nous fait découvrir un de ces baobabs-cimetières des griots parmi les trois qui se trouvent dans le village de Sindia.  Situé à quelques jets de la route nationale n°1, sur l’axe Dakar-Mbour, «Gouye Guéweul» est bien connu des populations de Sindia qui venaient visiter et découvrir le secret de ce pittoresque site témoin d’une pratique vieille de plus de 70 ans. Autrefois, le baobab était perdu au milieu de la forêt, mais aujourd’hui, avec la déforestation et le désenclavement, l’arbre est visible sur tous ses angles. Sur ses 20 mètres de haut et 15 mètres de diamètre environ, le majestueux et gigantesque baobab tombeau garde jalousement son secret. A l’approche du baobab sacré, la vue est fascinante. Les trous qui longent le long de l’arbre donne un aperçu sur la situation historique du baobab cimetière. On y dénombre 6 trous.

«Enterrer un griot serait synonyme de sécheresse ou de saisons des pluies moins abondantes»

A proximité de ces trous, l’on observe aisément les ossements humains (crânes, côtes, tibias) qui sont au fond du baobab. «Les 6 trous qui y figurent étaient utilisés pour faire passer le défunt que l’on déposait au cœur de l’arbre», révèle notre guide, Moussa Waly Ciss. Et de préciser : «Les griots morts étaient déposés dans les baobabs parce que, selon la tradition ancienne des Sérères, enterrer un griot serait synonyme de sécheresse ou de saisons des pluies moins abondantes».

Rappelons que cette localité de Sindia est majoritairement habitée par des Sérères. Et pourtant, avant la période poste coloniale, ce terroir était le fief des Socés. D’ailleurs, c’est cette ethnie qui baptisa le village Sindia, un mot qui signifierait restez ici – où l’espace est sécurisé mystiquement – tout habitant et visiteur qui y accèdent. C’est après le départ des Socés que ce territoire fut occupé par les Sérères. Ce sont ces derniers qui seront les acteurs de cette pratique. Selon la dame Adama Diouf, sa communauté a souffert de cette «injustice» pendant deux décennies. «Je ne connais pas le nombre exact de corps qui ont été déposés dans ce baobab. Mais je suis en mesure de vous révéler qu’ils sont une vingtaine. C’est une pratique qui a duré des années et des années», révèle la dame que nous avons trouvée assise devant un magasin avec sa marchandise étalée à même le sol. «Au temps, ce n’est pas n’importe qui, qui faisait entrer le défunt dans le trou du baobab. Il fallait être un mystique, armer de pouvoir surnaturel pour le faire», confie A. Diouf avant d’ajouter : «C’était un certain Samba Faye qui déposait les morts à l’intérieur du baobab».

Mais cette façon d’inhumer n’était pas chose aisée. Car à en croire la dame, «celui qui doit déposer le corps dans le baobab devait arrêter de respirer pendant tout le temps qu’il se trouve à l’intérieur du baobab cimetière. Sinon un grand malheur aller s’abattre sur lui». Sur les raisons de ces conditions d’inhumation, Adama Diouf, issue d’une lignée de griots s’indigne : «Ils disposaient les corps dans ces trous de baobab parce qu’ils ne respectaient pas notre dignité humaine».

Une position qui est renforcée par un de ses pairs Soulèye Faye. D’après ce dernier, «leurs actions étaient guidées par l’ignorance». «Ce baobab était notre cimetière et la pluie tombait. Aujourd’hui, nous sommes inhumés sous terre et le ciel continue de pleuvoir. Ceci explique tout simplement qu’ils étaient des païens et qu’ils ne croyaient en rien», se désole Soulèye Faye.

Notons que par manque d’études scientifiques et de datation des ossements, il est quasiment impossible de dire le nombre exact de corps qui reposaient dans ce baobab et depuis quand ils y sont.

ADAMA DIOUF, PETITE-FILLE DE NDEBANE DIOUF, DERNIERE A ETRE ENTERREE DANS LE BAOBAB : «Ma grand-mère et mon frère ont été enterrés dans ce baobab tombeau»
SINDIA – Dans la communauté actuelle des griots de Sindia, il est rare, voire impossible, de trouver un témoin oculaire de ces séries d’enterrements. Les quelques rares personnes capables de témoigner sur les faits n’étaient pas nées ou encore trop jeunes pour se rappeler véritablement de ces événements. Mais en bonne conservatrice de la tradition orale, Adama Diouf, âgée de plus de 70 ans, nous raconte l’histoire que sa grande mère et son frère ont vécue. Ce, d’autant plus que sa grand-mère a été la dernière personne a être inhumée dans ce baobab.

«La dernière personne à être enterrée dans ce baobab est mon aïeule. C’est la maman de mon père et elle s’appelait Ndébane Diouf. C’est elle qui fut la dernière griotte a être inhumée dans ce baobab», renseigne Adama Diouf. Elle explique, qu’avant sa grand-mère, un autre membre de sa famille a été enterré dans le baobab cimetière. «Mon petit frère du nom d’Aliou Diouf est lui aussi enterré dans ce baobab. Ma grand-mère et mon frère ont été enterrés dans ce baobab tombeau», confie Adama Diouf. «Des membres de ma famille reposaient dans ce baobab. Mais tout cela, c’était à cause de l’ignorance, car nous sommes tous des descendants d’Adama et Awa. Maintenant, nos enfants ont grandi et appris le Coran. Et tout cela est à ranger aux oubliettes».

MALGRE LA CESSATION DE LA PRATIQUE DU BAOBAB CIMETIERE : Les griots de Sindia n’enterrent toujours pas leurs morts dans le même cimetière que les Sérères

SINDIA – Lorsque que les religions révélées ont été en pleine expansion au Sine et au Walo, les Sérères ont commencé à se convertir et à abandonner progressivement certaines pratiques païennes. Mais il a fallu attendre l’arrivée de l’islam et la conversion grandissante de cette ethnie pour pouvoir abolir de manière définitive cette pratique. La cessation des cultes païens s’est produite de plusieurs manières, et selon plusieurs formes.

Contrairement aux griots de Fimela qui se sont rebellés, de manière violente, pour mettre fin à la pratique de l’inhumation de leurs morts dans les baobabs cimetières, ceux de Sindia et de ses environs ont attendu jusqu’au lendemain des indépendances pour s’y opposer. C’est sous la houlette du vieux Dibor Diouf que la communauté de griots de Sindia, éprise de justice, est allée auprès du chef de canton d’alors, Aladji Socé Sall, pour demander l’octroi d’un terrain afin d’y inhumer ses morts dans les règles de l’art.

Selon les récits de nos interlocuteurs, c’est après leur conversion à l’islam que leurs parents païens se sont démarqués de cette tradition qui a longtemps écœuré les griots sérères. Ainsi, se rappelle A. Diouf, «nos grands parents se sont regroupés pour faire savoir à la communauté que tous les hommes naissent égaux et que désormais les griots doivent enterrer leurs morts comme le prédit l’islam». A l’en croire, c’est son grand père qui fut le premier à bannir cette pratique. «Mon grand-père, Modiane Diouf, a été le premier à interdire cette pratique. Après sa conversation à l’islam, il est allé chercher un espace dans les champs des Sérères pour en faire un cimetière», renseigne-t-il en indiquant qu’à la mort des jumeaux d’Ablaye Faye, ce dernier s’est révolté et les a enterrés dans les champs des Sérères qui deviendront leur cimetière. «Adama et Awa sont les premiers défunts de notre descendance à être inhumés de façon humaine», dit Adama Diouf.

Si cette conversion à la religion musulmane et les démarches auprès des chefs religieux comme Ababacar Sy ont été déterminantes dans la cessation de cette pratique, l’on nous signale aussi que les indépendances ont eu un effet considérable dans l’abandon de cette forme d’inhumation. «Au lendemain des indépendances, Senghor a mis fin à cette pratique», explique Soulèye Faye qui rajoute que «Senghor a fait remarquer à la communauté que si nous payons tous les mêmes impôts, on doit en retour avoir le droit d’inhumer nos morts dans des cimetières. Et depuis, nous avons notre propre cimetière, mais qui est différent de celui du reste de la communauté Sérère».

Effectivement, confirme le chef de village de Sindia, Ibrahima Seck, les griots ont leur propre cimetière qui est différent de celui du reste de la population. Ayant préféré souscrire aux propos des griots Soulèye Faye et Adama Diouf, du fait, dit-il «de la sensibilité du sujet», il fait noter que dans ce village sérère, «le débat sur l’historique du baobab est considéré comme un sujet tabou, et les descendants de cette communauté ne veulent plus parler d’une pratique vieille de plus de 70 ans».

CONSIDERE COMME UN BAOBAB SACRE : «Gouye Guéwel» ne doit pas être un lieu touristique, selon les griots
SINDIA – Contrairement aux baobabs de Kahone, de Nianing et de la réserve de Bandia, qui sont devenus un patrimoine national sacré et ouvert au grand public, celui de Sindia reste fermé aux visiteurs et aux touristes.

A Sindia, «Gouye Guéwel» ne connaît pas la grande affluence. Les visites sont réduites et les lieux sont quasi déserts. Le baobab tombeau est renfermé sur lui-même. N’eussent été ses nombreux trous qui attirent l’attention des curieux et les quelques ossements à l’intérieur de l’arbre, on n’oserait pas croire que ce baobab fut un lieu d’enterrement des griots. Et pour cause, les familles des griots refusent l’accès aux antiquaires et les inconditionnels touristes qui veulent fouiller dans leur passé.

Pourtant, vers les années 1990 et 2000, ce lieu était ouvert au public. Si la communauté des griots a pris la décision de fermer l’endroit, c’est parce que des malfrats y faisaient des pratiques malsaines. Pour Soulèye Faye et compagnie, les injustices qufont vécues leurs arrières grands parents ne doivent pas être source de revenus pour quiconque. «Il fut des temps, ils vendaient les ossements aux blancs et cela nous faisaient trop mal. Et malgré nos multiples sommations, les antiquaires continuaient de vendre les crânes et les os de nos ancêtres aux blancs», indique Soulèye Faye. Poursuivant il ajoute : «Personne d’entre-eux n’accepterait qu’on déterre ses parents et qufon vende ses restes aux touristes».

«Nous sommes prêts à nous sacrifier pour que ces pratiques cessent. C’est une page qu’il faut tourner. Même pour des milliards de francs Cfa nous nfaccepterons pas que les ossements de nos parents soient retirés du baobab et vendus à des inconnus, ou en faire un site touristique. Il en va de notre dignité», prévient M. Faye. Et de révéler que «quand les antiquaires ont persisté à vendre les restes de nos aïeux, nous avons recueilli tous les ossements qui se trouvaient dans le baobab et on les a mis dans un sac pour ensuite les enterrés dans une fosse quelque part dans la forêt».

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Baobab bio

Légendaire Arbre de Vie aux racines ancrées dans le ciel, arbre qui vit plus que touts les autres, symbole millénaire de longévité et de puissance. Le Baobab n’a pas de cernes et personne ne peut dire exactement quel âge il a. Ceux qui vivent dans son ombre disent qu’il a toujours été là…

Nombreux sont les scientifiques qui pensent que la notion d’Arbre de Vie – source d’énergie vitale, qui existe dans les mythes et les croyances de la plupart des peuples du monde entier – a une base réelle : la concentration d’antioxydants dans les fruits et les feuilles de baobab, aussi bien que le taux élevé de vitamine C et de calcium, font du Baobab un prototype possible de l’Arbre de Vie. Les recherches récentes ont ajouté à la liste des éléments essentiels à la vie l’Inulin, prébiotique qui réduit le risque des maladies cardio-vasculaires, du diabète et de certains types de cancer.

Le Baobab est souvent appelé l’arbre renversé : 9 mois sur 12 il n'a pas de feuilles et ses branches nues ressemblent à des racines…
Le Baobab est souvent appelé l’arbre renversé : 9 mois sur 12 il n’a pas de feuilles et ses branches nues ressemblent à des racines…

Un arbre qui vit si longtemps, jusqu’à 5 000 ans selon les estimations des spécialistes , connaît surement le secret de la longévité.
Un arbre, sur lequel le temps ne laisse pas de traces et ne fait que le rendre plus fort et plus solide, sait forcément comment vaincre la vieillesse.

L’arbre contemporain des pyramides, d’Hammou-Rapi et du Nouveau Testament, qui a vu des civilisations entières apparaître, arriver à leur apogée, puis disparaître dans la nuit des temps, peut nous aider à vivre plus longtemps et mieux.

L’arbre, enraciné dans le ciel, sait comment répondre à la quête éternelle d’Elixir de Vie.

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